Truc waarbij T-cellen B-cellen doden de oplossing voor reuma (?)

Blinatumomab en ALL

Blinatumomab verbindt bij de bestrijding van ALL (acute lymfatische leukemie) kankercel en de cytotoxische T-cel (afb: National Cancer Institute)

Onderzoekstersters van, onder meer, de Friedrich-Alexander-universiteit in Erlangen-Neurenberg hebben een antilichaam, BLINA, gebruikt om T-cellen aan B-cellen te koppelen. Die gedwongen verbinding loopt slecht af voor de B-cellen. Dat zou bij (zes) reumapatiënten een eind hebben gemaakt aan de ontstekingsreacties van het eigen afweersysteem. Lees verder

Diamantjes gemaakt zonder extreme druk te hoeven gebruiken

Tot briljanten geslepen diamenten

Tot briljanten geslepen diamanten die een stuk groter zijn (afb: WikiMedia Commons)

Ze zijn niet groot, ongeveer 0,1 mikrometer ongeveer zo groot als een virus, maar het zijn toch diamantjes. Het grote verschil met de kunstmatige diamanten die nu worden gemaakt is dat je er geen waanzinnig hoge druk bij nodig hebt. Nu worden die grotere diamantjes gemaakt bij een druk van 60 000 atmosfeer en 1600 °C. Lees verder

Europarlement stemt in met richtlijnen over recht op reparatie

Het Europees Parlement heeft ingestemd met nieuwe richtlijnen over het recht op reparatie van producten. Na formele goedkeuring van de Europese Commissie en de Ministerraad en publicatie in het Publicatieblad hebben lidstaten twee jaar de tijd om de richtlijnen, eventueel met aanvullingen, in nationale wetten te verankeren. Overigens is het recht op reparatie alleen maar van toepassing op een beperkt aantal producten. Lees verder

Spintronische computer belooft snel en energiezuinig te worden

Skyrmionen

Skyrmionen in een ‘spoor’ (afb: Bruno Bourgeois en Olivier Bouille)

Spintronica en skyrmionen houden een belofte in van snellere computers die veel minder energie vergen (een factor 1000 minder, verwachten onderzoekers), niet in de laatste plaats doordat die magnetische nanobolletjes (skyrmionen) zowel kunnen dienen als geheugenelement dat ook zijn te gebruiken voor de verwerking van gegevens. Lees verder

Kwantumcomputer niet mogelijk zonder foutcorrectie

https://www.lemonde.fr/sciences/article/2024/04/22/calcul-quantique-l-inevitable-besoin-de-corriger-les-erreurs_6229240_1650684.html

Calcul quantique : l’inévitable besoin de corriger les erreurs

Ces dernières années, les codes de correction ont évolué, mais le taux d’erreur est encore trop élevé pour faire tourner des algorithmes requérant des milliards d’opérations. Comment protéger les qubits, pièces maîtresses très sensibles de l’ordinateur quantique ?

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Publié hier à 17h30

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Un processeur quantique à base de matériau supraconducteur de la société Alice & Bob.

C’est le sujet chaud du moment en calcul quantique : la correction d’erreurs. Evidemment, on ne parle pas là de la qualité du résultat final, qu’on espère correct. Le concept désigne plutôt ce qu’il se passe pendant le calcul et recouvre l’ensemble des techniques mises en œuvre pour protéger les opérations. Car un peu comme nos oreilles ont du mal à suivre une conversation dans un environnement bruyant, les pièces maîtresses d’un ordinateur quantique, les qubits, sont très sensibles et peuvent ne pas fonctionner correctement. Ces objets, qu’on peut voir comme de petites aiguilles qu’il s’agit de faire tourner dans les bonnes directions, ont le mauvais goût de pouvoir tourner toutes seules et donc de faire perdre le fil à l’algorithme qui les utilise.

En communication, pour éviter les erreurs dans des câbles et des fibres inévitablement perturbés, les bits d’information sont redondants, répétés par exemple trois fois. Comme il est peu probable qu’un défaut touche deux ou trois bits en même temps, la transmission est garantie. Dans un PC, ces précautions sont en général inutiles, car les transistors sont fiables, avec une erreur tous les milliards de milliards d’opérations. Certains processeurs sont néanmoins dotés de protections lorsqu’ils servent à des applications critiques, dans le spatial ou la défense.

Mais en quantique, actuellement, les technologies boguent toutes les cent opérations ou, au mieux, toutes les mille. Beaucoup trop pour faire tourner des algorithmes requérant des milliards d’opérations. La correction est indispensable. L’un des chercheurs les plus connus du domaine, pour avoir proposé en 1995 l’algorithme cassant les codes secrets, l’Américain Peter Shor, a, la même année, publié un code correcteur, fondé sur de la redondance. A la fin des années 1990, deux chercheurs Russes, Alexeï Kitaev et Sergey Bravyi, proposent mieux, avec la méthode qui allait s’imposer : le code correcteur de surface. La technique « teste » des groupes de quatre qubits voisins d’un qubit à protéger et permet de savoir où est l’erreur pour la corriger, en remettant l’« aiguille » d’aplomb.

Codes de surface

« Pendant vingt ans, il n’y a guère eu de progrès. Depuis trois-quatre ans, c’est à la mode, et il y a maintenant beaucoup de résultats », constate Anthony Leverrier, chercheur à l’Inria à Paris et responsable d’une partie consacrée à ces questions dans l’un des programmes et équipements prioritaires de recherche (PEPR), lequel est doté de 150 millions d’euros.

A la fin de 2021, deux autres Russes de l’université de Moscou, Pavel Panteleev et Gleb Kalachev, proposent une nouvelle approche, qui « teste » des qubits plus éloignés de celui à protéger. Alors que les codes de surface garantissent de pouvoir corriger la racine carrée du nombre de qubits, ces chercheurs augmentent ce nombre jusqu’à une valeur proportionnelle à N, presque aussi bien que dans les télécommunications. En février 2022, Anthony Leverrier et Gilles Zémor, chercheur à l’Institut de mathématiques de Bordeaux, font aussi bien avec une autre famille de codes. Quelques mois plus tard, ils trouvent aussi une technique pour accélérer une des étapes de la correction, le décodage, pour leur code et celui des Russes. En effet, pour repérer une erreur, un grand nombre d’opérations est effectué, qui donne une série de chiffres qu’il faut traiter pour savoir où et quoi corriger. Cela prend du temps.

Chaque jour de nouvelles grilles de mots croisés, Sudoku et mots trouvés.
Jouer

Les expérimentateurs n’ont pas été en reste non plus ces derniers mois. Au début de 2023, Google montrait pour la première fois que la loi de la correction d’erreur était valide : protéger un qubit avec 5 qubits est mieux qu’avec 3, mais avec, tout de même, 3 % d’erreurs, ce qui est plus qu’un qubit tout seul…

Bouger les qubits par blocs

En décembre 2023, une équipe de Harvard, associée à la start-up Quera Computing (issue de cette université), frappait aussi les esprits en mettant en œuvre une partie d’une procédure de correction d’erreurs en… bougeant les qubits par blocs. Jusqu’alors, au contraire, on cherchait à les déranger le moins possible. Mais cela permet d’appliquer des corrections plus efficaces.

Dans Nature, en mars, une équipe d’IBM est parvenue à protéger 12 qubits avec 276 autres, ce qui est dix fois moins que par le code dit « de surface ». Mais, là encore, le taux d’erreur reste très grand, de 0,7 %.

Enfin, le 3 avril, Microsoft, associé à l’entreprise Quantinuum, a annoncé avoir réussi à faire qu’un qubit protégé fasse moins d’erreurs qu’un qubit isolé.

Les preuves de concept, théoriques et expérimentales, s’accumulent pour tenter de contrer la nature, mais les obstacles sont encore nombreux. En 2021, une équipe internationale a montré que les méthodes de protection ne seraient guère efficaces contre des périls venus du ciel, les rayons cosmiques ou les rayons gamma, qui ont le mauvais goût de toucher plusieurs qubits en même temps, ce qui n’est pas dans les hypothèses des codes de correction actuels. Avant d’enterrer leurs ordinateurs quantiques sous les montagnes, de les blinder ou de trouver de nouvelles astuces informatiques, les chercheurs ont encore un peu de temps. Ils luttent pour le moment contre des perturbations plus importantes.

“Stroomopwekking Duitsland na kernuitstap schoner dan ooit”

Opkomst-en-neergang-van-kernenergie-in-Duitsland

De opkomst en neergang (‘levenscyclus’) van kernenergie in Duitsland (afb: Fraunhofer ISE)

Op 30 juni 2011 na de kernramp in Fukushima in maart van dat jaar, besloot de Duitse regering afscheid te nemen van kernenergie. Dwarskijkers en kernenergie-aanhangers voorspelden dat de ‘uitstap’ zou leiden tot grote problemen met de energievoorziening en de overstap naar milieu- en klimaatschadelijke kolencentrales. Op 15 april vorig jaar gingen de laatste drie actieve kerncentrales in Emsland, Neckarwestheim en Isar van het stroomnet en geen van die doemscenario’s zou zijn uitgekomen, aldus het Fraunhoferinstituut voor zonne-energie ISE. Lees verder

Is de foutloze kwantumbit in de maak?

Magneetje dat elektron vangt

Een magneetje (blauw) moet het elektron vasthouden (afb: Erika Kawakami et. al/Physical Review Applied)

De kwantumcomputer worden allerlei ‘bovennatuurlijke’ gaven toegedicht, maar voorlopig zullen die eerst maar een stuk stabieler moeten worden en de neiging de fout in te gaan moeten onderdrukken. Nu lijkt een wat vergeten onderzoek uit de jaren 90 uitzicht te bieden op kwantumbits die foutloos werken, waarbij gebruik wordt gemaakt van elektronspins op een ‘bedje’ van vloeibaar helium in plaats van in kristallen. Lees verder

Tweedimensionaal goud is een halfgeleider

De synthese van goudeen (goldeneen)

De synthese van goudeen (goldeneen) (afb: Shun Kashiwaya et. al/Nature)

Het lijkt een rage te worden, de een atoom dikke, tweedimensionale, materialen. We hadden al grafeen, atoomdikke koolstof, en ook van kiezel, boor en gallium zijn ‘-enen’ gemaakt. Daar wordt nu goud aan toegevoegd. Normaal is goud een geleider, maar afgeslankt tot twee dimensies is het een halfgeleider. Net als grafeen wordt aan dat goldeneen (of goudeen) een gouden toekomst toegedicht.
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“Lagere biodiversiteit vergroot kans op zoönose”

Diverse vleermuissoorten

Diverse vleermuissoorten die aan het onderzoek deelnamen (afb: Heather Baldwin/Nature)

Zoönose is het overstappen van ziekteverwekkers van andere gewervelde dieren op mensen. Minder verscheidenheid in diersoorten zou de kans op het veranderen van gastheer door ziekteverwekkers dus bevorderen, zou een groep wetenschappers rond viroloog Christian Drosten van Charité in Berlijn aannemelijk hebben gemaakt. De onderzoekers bekeken hoe veranderingen in de samenstelling van vleermuispopulaties in grotten in Ghana de verspreiding van coronavirusvarianten hebben beïnvloed. Lees verder

“Satelliet- en raketpuin taste de fragiele bescherming rond aarde aan”

Blik op de aarde

Ruimtepuin is fnuikend voor fragiele beschermlaag rond de aarde

Zijn we met al die satellieten rond de aarde en de raketten die ze daarheen vervoeren en vooral met het ‘wissen’ van de uitgewerkte satellieten niet bezig de beschermlaag rond de aarde en daarmee de leefbaarheid op die onze planeet te vernielen, vraagt plasmafysicus Sierra Solter zich in the Guardian af. Hij vindt dat ruimtevaartbedrijven geen satellieten meer in een baan rond de aarde mogen brengen als ze niet kunnen aantonen dat die de stratosfeer en magnetosfeer rond de aarde, de beschermingslaag van alle leven op deze planeet, niet vernielen. Lees verder